vendredi 15 août 2014

Dax, 4ème corrida de la feria

6 Pedraza de Yeltes pour Antonio Ferrera, Diego Urdiales et Javier Castaño

Red Hair (cocktail préféré de Monsieur Ernest Hemingway)

  • 1 once de vodka poivre
  • 1/2 onces de jus de limette
  • 1 trait de grenadine

Sec et fort en "gusto", ce cocktail est une boisson "para la gente" qui savent apprécier le traître "beso" d'une belle rousse.

A part les 2 et 5, "los toros" roux-rouges envoyés de Yeltes avaient "la acidez" de la limette et "la fuerza" de la vodka. "Desgraciadamente", la vodka, même poivrée n'a que peu de "gusto" et il manqua "al encierro" et tout petit peu d'âpreté pour totalement contenter les rares "aficionados a los toros" qui s'étaient déplacés dans la "ciudad termala" ("esto cartel" étant le seul à ne pas faire "lleno" durant toute "la feria", quelques places étaient disponibles à "la taquilla").
Ceci dit, il y avait tout de même à "beber y a brindar" dans cette "corrida" qui nous a bien vite fait oublier les fades précédentes. Plus "violentos que bravos al caballo", les rouquins provoquèrent tout de même "dos batacazos". Ils eurent de plus "el merito" de ne jamais baisser de pied "a la muleta".

Ferrera s'est appliqué à son "primero", faisant penser qu'il était définitivement passé du côté "torero de la aficion" mais son naturel de novillero bravache et "pueblerino" revint à son second. Nous ne pûmes alors que le siffler gentiment, "la sonrisa" aux lèvres.

Urdiales gagne petit à petit "el corazon" de ceux qui n'ont jamais trop cru en lui. "Lidiador de frente" dès que possible et matador, il fit preuve de "dominio" et même "de entrega", malgré son visage taillé à la serpe et son sourire de "franquisto".

Castaño... même "su cuadrilla" n'y croit plus. Malgré "un sorteo" à la Deschamps, il ne fit rien des "dos toros de vuelta" à sa disposition. 2015 sera peut-être la bonne année pour lui, celle du repos y de "su despedida" ! "Enhorabuena".

Corrida qui ne sera pas "repetida" l'an prochain par l'assertion dacquoise qui promet de ne jamais programmer "las mejoras ganaderias" d'une année sur l'autre (Cuadri ou Dolores Aguirre "por exemplo", lors des férias précédentes). 

A noter : la feria devient longue pour notre alguazil préféré... chute au lancer de la clé... retour à pied au burladero à 2000 à l'heure... On a beau s'y attendre, ça surprend toujours.

El Nuevo

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