Luis Freg à Céret en 1927 - Toro brindé à MiqueletaCollection E. Delpont |
Il y a quatre-vingts ans et quelques jours que Luis Freg est
paradoxalement mort d’une noyade alors qu’il tentait de sauver une femme (ou un
enfant) des eaux du río Palizar, au Mexique.
Avant le 10 novembre 1934, Luis Freg aka « Don Valor » aka
« El Rey del Acero » était déjà mort à plusieurs reprises et avait connu
plus d’une fois les affres de l’extrême onction mais ce jour-là, aussi
invraisemblable que ça puisse paraître, il est mort pour de vrai. Dans l'eau. Pas dans le ruedo.
Outre son courage, ses mises à mort contraires spectaculaires et ses multiples survivances, ce torero hors du commun s’est illustré en étant le premier mexicain à s’enfermer seul face à 6 toros à Mexico, il est aussi le premier mexicain à couper un rabo sur le sol européen. Son autre intrépidité marquante aura été d’être le premier torero à oser prendre l’aéroplane pour rallier les arènes de Palma de Mallorca à partir de Barcelone.
Le dénombrement de ses blessures en aura fait gloser plus d’un et, à la fin de sa vie, la vérité doit se situer entre soixante-dix et une centaine. Il se dit que c’est grâce à ses cicatrices qu’on a pu formellement l’identifier après sa mort.
Dans « Toros en Céret », Paul Ey parle de Luis Freg comme de l’homme aux cinquante-six blessures (on n’est qu’en 1927), qui donna aux céretans « le goût du courage et de l’estocade classique ».
Zanzibar
Outre son courage, ses mises à mort contraires spectaculaires et ses multiples survivances, ce torero hors du commun s’est illustré en étant le premier mexicain à s’enfermer seul face à 6 toros à Mexico, il est aussi le premier mexicain à couper un rabo sur le sol européen. Son autre intrépidité marquante aura été d’être le premier torero à oser prendre l’aéroplane pour rallier les arènes de Palma de Mallorca à partir de Barcelone.
Le dénombrement de ses blessures en aura fait gloser plus d’un et, à la fin de sa vie, la vérité doit se situer entre soixante-dix et une centaine. Il se dit que c’est grâce à ses cicatrices qu’on a pu formellement l’identifier après sa mort.
Dans « Toros en Céret », Paul Ey parle de Luis Freg comme de l’homme aux cinquante-six blessures (on n’est qu’en 1927), qui donna aux céretans « le goût du courage et de l’estocade classique ».
Zanzibar
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